Le succès de l'intemporelle Fiat 500

Belle silhouette rétro, intérieur soigné : relancée en 2007, la Cinquecento a redoré l’image du constructeur turinois. Et par là-même, a battu des records de vente ! Retour sur les clefs d’un succès incontesté.

Une série limitée

En à peine 10 ans, 30 éditions spéciales sont venues alimenter l’attrait pour le modèle en mettant en avant des équipements innovants et des finitions uniques.

Néo-rétro et personnalisable

L’ingrédient principal de la recette Fiat 500, c’est bel et bien le marketing. Le petit pot de yaourt a eu le nez fin, puisqu’il a déboulé à l’aube des années 2010 au moment où une tendance du marketing jaillissait : la personnalisation et le néo-rétro, les deux ingrédients principaux de ce modèle.

La maîtrise des coûts de production

Fabriquée à bas coût au Mexique et en Pologne, le modèle repose sur la même plateforme que la Panda, la Lancia Ypsilon, et la Ford Kà. Pourtant, la Fiat 500 est une voiture plutôt onéreuse. Un paradoxe qui fait le bonheur de la marque, rendant les marges bénéficiaires du modèle plus qu’excellentes.

Une mécanique intemporelle aussi

Grâce à son moteur peu gourmand, la Fiat 500 ne souffre guère des évolutions réglementaires des dernières années en matière de pollution. De plus, la marque a lancé la version électrique, toujours aussi rétro mais encore plus dans l’ère du temps.

Ces éléments lui ont valu un premier record, avec plus de 2 millions d’exemplaires vendus en à peine 10 ans ! Par la suite, alors que le plan industriel d’origine prévoyait une production annuelle de 120.000 véhicules par an, Fiat a battu un record de ventes absolu en Europe en 2018 avec 194.000 exemplaires.

À quand un nouveau record avec le modèle électrique ?

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